Dolores Ombrage

Nom : Ombrage
Prénom : Dolores
Date de naissance : 12 décembre 1934
Emploi/ Matière enseignée : Professeur de défense contre les forces du mal ayant récemment été promue au rang de directrice de Poudlard. Parrallèlement, elle est également sous-scrétaire d’Etat, au service de Cornelius Fudge, au ministère de la magie.
Groupe désiré : Hogwart’s Staff
Description Physique : Physiquement, Ombrage n’a rien qu’on puisse vraiment lui envier. Sorcière à la silhouette trapue, sa tête plus volumineuse que la moyenne repose sur un cou presque inexistant. Ajoutez à cela une bouche large et molle, et de grands yeux ronds et verts, et vous obtenez... Ouais, un crapaud. Il suffirait juste de transformer la couleur de sa peau en des tons plus verts, et on aurait véritablement eu l’impression d’avoir un crapaud devant les yeux. Ses cheveux châtains clairs sont courts et bouclés, souvent surmontés de bandeaux et autres cardigans pelucheux, et roses qui pouvaient donner l’impression de mouches que le crapaud serait sur le point de déguster.
Très petite, on ne fait pas tellement la différence entre son stade assis, et celui debout, tant ladifférence de taille est à peine significative. Derrière ses dents pointues (gnere vampire, en moins affuté, et beaucoup moins classe) s’échappe une voix minaudante et cristalline, à des années lumières du caractère du professeur.
Ses tenues ont beau être variées, elles se ressemblent toutes. Du rose, encore du rose, toujours du rose, elle acceptait de porter n’importe quelle fringue, du moment qu’elle n’était pas autre chose que rose. Et pour ajouter à l’horreur du résultat final, elle surmontait ses tailleurs/robes/vestes/chemises roses, de broches immondes, souvent à l’effigie de chats, son animal préféré. De quoi vous dégoûter du rose à tout jamais.
Elle affiche le plus souvent une expression quelque peu niaise et faussement gentillette qui révèle l’opposé d’un caractère que son visage ne reflette que très rarement.

Histoire : Ce qu’on peut dire de la vie de Dolores Ombrage? Eh bien, c’est qu’elle est déjà bien remplie. Que voulez-vous, il s’en passe des choses, en 62 ans, et l’époque de sa prime enfance et ses études à Poudlard ne sont plus pour elle que de très lointains souvenirs. Dans la famille de Dolores Ombrage, on était sorciers de père en fils, sorcières de mère en fille. Une famille de sangs-purs en gros. Enfin, pas une famille de sang-purs à cent pour cent, il y avait bien quelques moldus, quelques cracmols, qui trainaient par-ci par-là mais ne parlons pas des sujets qui fachent, et faisons mine que la famille Ombrage était bel et bien une famille de sang pur. Vous vous en doutez, le sang, dans cette famille, avait son importance, on aimait pas les moldus, chez les Ombrage, c’était génétique...

Elle avait donc passée son enfance dans ce genre de familles conservatrices, qui avait ses valeurs, et les enseignait de générations en générations : les moldus sont des crétins, les sang-de-bourbe sont la honte de la sorcellerie, les cracmols, n’en parlons pas, les hybrides sont des sous-humains tout juste bon à nous servir et admirer notre superiorité... Quand on vous fourre des idées pareilles dans la tête depuis votre prime enfance, pas étonnant que vous finissiez en professeur sadique et aigri avec un vénération pour tout ce qui est rose.

Toute jeune, ce furent ses parents qui s’assurèrent de son éducation, histoire que leurs idéaux lui pénètrent bien dans le crâne. Un genre de lavage de cerveau? Ouais, sans doute, mais on ne peut pas vraiment dire qu’Ombrage s’y opposait, au contraire, elle était toujours la première, quand il s’agissait de sortir des insanités de sa petite bouche qui déjà ressemblait à celle d’un crapaud, de même que sa petite carrure dodue. Elle ne fréquenta personne étant jeune, restant cloitrée dans la maison familiale. Dehors, il y avait trop de risques de tomber sur des moldus, quand elle arriverait au collège, au moins, elle serait enfin dans un environnement sain, en compagnie d’élèves du même rang qu’elle. Bien qu’il fallait gardait une certaine méfiance vis-à-vis de ceux qu’on pouvait soupçonner être des sang-de-bourbe ou des sang-mêlés... Ouais, tous névrosés, dans sa famille.

Un jour, donc, Dolores dut se résigner à abandonner ses robes à froufrous roses en échange d’une tenue tout ce qu’il y a de plus noire : l’uniforme scolaire. Elle irait faire ses études à Poudlard, comme il était de coutume dans la famille. Bien sûr, on lui préférait Durmstrang, mais Durmstrang, c’était bien trop loin, et à Poudlard, Dolores y était inscrite d’office.
Un premier septembre, donc, elle monta à bord du poudlard-express, direction Poudlard. Sans grande surprise, sa maison fut Serpentard. On ne peut pas dire qu’elle y fut la plus populaire, elle avait ses relations, quoi... Et ses années à Poudlard se déroulèrent sans rien de vraiment notable, elle obtint ses BUSE et ses ASPIC sans grand problème. A sa sortie de Poudlard, elle se déstinait à un métier qui se situerait dans l’administratif, un domaine du genre. Elle n’avait pas d’idées vraiment très précise, mais elle se voyait bien dans un poste qui lui donnerait une certaine influence et autorité, et qui lui permettrait la faveur des plus puissants. Ce fut dans cet objectif qu’à sa sortie de Poudlard, elle accumula études et stages au sein du ministère de la magie pour enfin obtenir le poste d’assistante de direction au bureau international des lois magiques.

A ce poste, elle rencontra son mari, avec qui les choses ne durèrent que peu de temps. Après cinq ans de mariage, leurs divergences d’opinions les avaient poussé à divorcer. Dolores ner s’est jamais remariée, et malgré sa vie déjà longue, on ne peut pas dire que sa vie sentimentale soit très chargée. Mais au fond, pour ce qu’on en a à faire, de sa vie sentimentale, c’est pas bien grave.

Plus tard, grâce à sa constance et à sa fidélité, elle monta graduellement les marches qui la conduisirent vers une des places les plus convoitées au ministère de la magie, et l’une des plus hautes placées hierarchiquement : celui de sous-secrétaire d’Etat auprès du ministre de la magie, Cornelius Fudge. Elle a rempli ce rôle à la perfection, sans la moindre bavure, vouant une admiration, une considération et une fidélité sans faille au ministre de la magie. Une considération telle qu’il semblait qu’elle avait abandonné ses propres opinions pour se plier à celles du ministre sans trop réfléchir, mais après tout, c’était ce qu’elle avait toujours fait, les opinions qui semblaient ses opinions propres n’étaient finalement que les opinions d’une catégorie à laquelle elle avait décidé d’appartenir.

Ainsi, quand le ministère a officiellement déclaré que celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom n’était pas de retour, que Potter était cinglé et Dumbledore sénile, elle avait approuvé sans broncher et sans demander de preuves. Le fait que, à l’inverse de beaucoup d’autres, elle décide de ne pas douter, ne serait-ce qu’un minimum et affiche si haut et fort des opinions identiques au ministre lui permirent d’atteindre un degré d’intérêt supérieur aux yeux du ministre. Raison pour laquelle on décida que le professeur qu’on désignerait pour devenir professeur de défense contre les forces du mal à Poudlard, Dumbledore ayant des difficultés à trouver un nouveau professeur, ce serait elle.

Dès qu’elle intervint en tant que professeur, une chose fut certaine, les avis étaient très partagés à son sujet, elle n’était apprécié par presque aucun des professeurs de Poudlard (seul Rusard lui montrait haut et fort sa dévotion) et par très peu d’élèves (quasiment que des serpentards. Il faut dire que question cours, on avait fait plus passionant, parce que bon, passait des heures de cours à recopier les lignes d’un bouquin sans pratiquer une seule fois les sorts qu’on nous apprenait en théorie, c’était bof, quoi. Cependant, peu étaient les gens qui osaient lui tenir tête publiquement (sans doute par crainte quand à sa position influente au ministère), seules deux personnes ne s’en privèrent pas : Harry Potter, ce bonimenteur mal-coiffé qui continuait d’affirmer à tort et à travers que Celui-dont-le-nom-ne-doit-pas-être-pronnoncé était de retour. Et Minerva McGonagall, qui lui tenait tête sans craindre la moindre représaille.

Dolores prit graduellement les rênes de l’école. Elle fut en premier lieu nommée “grande inquisitrice”, rang qui lui donnait le droit de juger le niveau des professeurs de Poudlard, et de les remplacer par d’autres si elle considérait que la situation l’imposait. Ce nouveau rang d’autorité lui permit ainsi de remplacer quelques profs qu’elle jugeait incompétents, tels que les professeurs Vector, Burbage, Chourave et Sinistra, qu’elle remplaça par de jeunes professeurs sous la poupe du ministère, qui saurait obéir aux idées instaurées par le ministère sans faire de vagues.. Du moins le croyait-elle. Il y eut également Trelawney, mais Dumbledore fut plus rapide qu’elle et la remplaça par pire encore : un centaure! Et puis quoi encore? Et elle n’avait pas l’intention de s’arrêter là, bien sûr! Il y avait encore tant d’autres profs à virer : comme Hagrid, demi-géant aussi débile que peut l’être un demi-géant ou encore Minerva McGonagall, qui quoi que compétente, parlait vraiment trop...

A Poudlard, elle s’amusa à faire passer un tas de décrets inutiles et contraignants, aussi bien pour les élèves que pour les professeurs. Elle fonda également la brigade inquisitoriale, uniquement composée de serpentards, plein de morveux juste là pour servir ses intérêts.

La “résistance” s’organisa bientôt autour d’Harry Potter, sous le nom d’”armée de Dumbledore”. Ombrage en fut rapidement informée, et le jour où elle parvint à démenterler cette association interdite (car le ministère s’amusait chaque jour à interdire un nouveau truc) fut le jour de sa plus grande victoire. Non seulement elle mit fin à cette association qu’elle ne pouvait que désapprouver, et mieux encore, en voulant mettre la main sur Potter, elle mit la main sur Dumbledore, qui se déclara à l’origine de cette association. Seul regret : il ne fut pas envoyé à Azkaban, mais depuis ce jour, Ombrage avait le contrôle total sur l’école de sorcellerie, et savourait ce nouveau pouvoir au maximum. Et l’année n’est pas terminée... (Mwahaha!!!)

Relations :

En ce qui concerne ses relations familiales, comme c’est Ombrage, on va passer ce détail, qui de toute manière, n’intéresse personne.
ça vous intéressera peut-être, Dolores Ombrage avait trois chats, son animal préféré, dont elle s’est séparé peu avant son entrée à Poudlard. Elle ne préférait pas laisser ses chats adorés aux mains d’horribles enfants qui iraient les toucher avec leurs sales mains de sales gamins (ouais, ouais, elle adorait les gosses...). Elle avait donc laissé ses précieux n’amours à sa cousine, Gertrude.
Parlons un peu de sa relation avec ses “collègues”. C’est bien simple, pour le simple fait qu’ils adhèrent tous aux idées de Dumbledore, elle les détèste. Elle détèste McGonagall et son arrogance mal placée, elle détestait Firenze et ses sabots ridicules, elle détéstait Hagrid et ses je-ne-sais-combien de mètres de plus qu’elle. Le seul professeur à qui elle accordait un minimum de considération était Severus Rogue, dont il avait été dit le plus grand bien au ministère. Parmi les membres du personnel, elle avait rattaché Rusard à son parti, en même temps, ce n’était pas bien difficile, et il lui était très utile. Et bien sûr, elle appréciait davantage les jeunes professeurs remplaçants que ceux qu’elle avait viré, à juste titre selon elle.
Ombrage n’aimait donc pas les autres profs, de la même manière, elle détéstait les élèves... Les enfants en règle générale. Et parmi ces gamins, elle détéstait le binoclard de service, Harry Potter. Nan mais, pour qui il se prenait, à se croire le centre du monde avec ses mensonges à la noix. Elle détéstait aussi les specimens du genre Fred et Georges. Enfin... Il n’y avait pas de quoi s’étonner, quand on voyait dans quelle famille ils avaient grandi.
Outre cela, elle vouait une dévotion et une admiration sans égal à son supérieur, Cornelius Fudge, qu’elle vénérait presque et dont elle propageait la “sainte parole”.

Caractère :

Dolores Ombrage, c’est le genre d’enseignant qu’on pourrait qualifier de vieux-jeu. Conservatrice, elle agit au nom de valeurs ridicules et complètement déplacées. Elle pousse la discipline à des extrêmes qui finissent par ne plus avoir de sens, comme le démontrent si bien les divers décrets aussi nombreux qu’éxagérés qu’elle impose à l’école. Sa sévérité est en effet tout ce qu’il y a de plus extrêmiste, elle impose à ses élèves une discipline de fer, se permettant d’employer des méthodes répressives, qui ne sont pourtant plus d’actualité. Ses punitions prennent parfois des allures de torture (comme lorsqu’elle obligea Harry à écrire des lignes avec son propre sang).

Ainsi, pour le grand plaisir de Rusard, elle se fit un grand plaisir à remettre les châtiments corporels à l’ordre du jour (décret je-ne-sais-combien). Elle ne fait pas que diriger Poudlard, elle règne sur Poudlard, et sa façon d’agir finisse par faire d’elle un tyran, et de son travail au sein de l’école une dictature. Plus rien n’échappe au contrôle de Dolores Ombrage.

Il semble qu’elle ne possède aucun état d’âme. Bornée, elle ne tient jamais compte de l’avis des autres (si ce n’est celui de son cher ministre), et est certaine de détenir la seule vérité. Vérité assez peu fiable si on tient compte de ses opinions d’une étroitesse d’esprit remarquable, approchant la xenophobie, envers tous ceux qui ne sont pas des sorciers comme elle, qu’il s’agisse des “créatures à intelligence presque humaine”, des moldus, ou des “sang-de-bourbes”. Sans scrupule, elle conçoit la cruauté comme nécessaire dans certaines, situations, qu’elle soit physique ou morale.

Et elle s’y emploie avec un plaisir entièrement sadique. Elle sait cependant cacher tous ses mauvais traits de sa personalité par une apparence extrêmement niaise, encore rehaussée par toutes ses tenues roses et sa petite voix cristalline.

Elle ressemble à ce qu’on pourrait appeler du miel empoisonné, douce en apparence, apparence à laquelle il ne faudrait absolument pas se fier, sous peine de tomber plus que de haut.

Passions & Hobbies & Intérêts & Autres : Sa plus grande passion? Collectionner les bidules qui aient une forme de chat, un motif de chat, qui ait un quelconque rapport avec les chats. Elle a ainsi dans son bureau une collection assez impressionante d’assiettes à motifs de chats, qui ne se contentent pas de bouger dans leurs assiettes, mais miaulent en plus du reste... Traumatisant, je sais... Ses hobbies? Persécuter les hybrides? Ouais, nan, bien qu’elle y prenne un certain plaisir quand elle en a l’occasion. Pourrir la vie de ses élèves? Ouais, entre autres. Sortir des décrets sans intérêts toutes les deux minutes? Aussi... C’est que c’est une femme très occupée, que voulez-vous.

"Plus t'feras quoi ?" :/

Age ? 17-18
Où avez-vous connu le forum ?/
Pas trop de mal avec tous ces bidules compliqués et longs à lire ?/